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    Ho'Oponopono  est une tradition de repentir et de réconciliation des anciens Hawaiiens.


    Cette philosophie ancestrale  hawaïenne repose sur une formule de guérison :

      

    " désolé, pardon, merci, je t’aime "

      

    Selon le Dr.Hew Len nous ne pouvons pas tout contrôler, ni tout connaître, beaucoup de choses nous échappe et il en sera toujours ainsi.
    La seule chose que nous puissions faire pour régler nos problèmes c'est de nous en remettre au Divin et de "lâcher prise".


    Cependant pour guérir nous devons assumer l'entière responsabilité de chaque chose qui nous arrive et ce du fait que tout problème serait en nous.
    En effet à chaque fois qu'un problème arrive, nous sommes présents.

    C'est donc en demandant au Divin de guérir la partie de nous qui correspond au problème extérieur que celui-ci peut être résolu.Comment ?
    En nettoyant nos mémoires en adressant ces quatre expressions au Divin en soi.

     

     Ho'Oponopono

     

      

    Pour le Dr. Hew Len chaque chose qui nous arrive est soit issue d'une mémoire qui se répète inlassablement, soit d'une inspiration lié au Divin. Et puisque nous n'avons pas le moyen de faire la distinction nous devons toujours "nettoyer" à l'aide de ces expressions.

     


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    "Avant je vous disais toujours : Changez ! Changez ! même si c'est pour le plaisir de changer. Tant que vous n'aurez pas une raison forte et positive pour ne pas changer, changez ! Changer c'est se développer, changer c'est vivre ; alors, si vous voulez continuer de vivre, continuez de changer."

    " Eh bien, maintenant, je vous dis le contraire : ne changez pas. Changer n'est ni possible ni souhaitable. Laissez tomber. Restez comme vous êtes. Aimez-vous tels que vous êtes. Et si au bout du compte le changement est possible, il aura lieu par lui-même, quand il le voudra et s'il le veut. Fichez-vous la paix ! "

    Le grand paradoxe du changement est que nous arrivons à l'atteindre quand nous l'oublions.

    Anthony de mello

     

    Il existe un curieux paradoxe :

     

    quand je m’accepte tel que je suis, alors je peux changer.

     

    Carl Rogers


     


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    Meilleurs Vœux à tous

     

    Dia


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    Meilleurs vœux à vous tous

     

    Dia


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  • Reconnu comme étant un pionnier dans le domaine de la médecine du corps et de l’esprit, le docteur indien Deepak Chopra est aussi celui qui a popularisé « les 7 lois spirituelles de succès » pour atteindre la maîtrise de soi et développer sa part de divin.

      

                         1ère Loi : Loi de Pure Potentialité

     

    Prendre l'habitude de méditer seul au moins deux fois par jour pendant 30 minutes à chaque fois.

    Prendre le temps chaque jour de communiquer avec la Nature et de témoigner silencieusement de l'intelligence présente en toute chose vivante.

    Pratiquer le non-jugement.

    Commencer la journée par cette résolution :

    "Aujourd'hui, je ne jugerai rien de ce qui arrivera" et s'y tenir.

     

                                         2ème Loi : Loi du Don

     

    Prendre l'habitude de donner quelque chose à toutes les personnes que l'on rencontre.

    Ce peut être un don matériel (objet, argent...) ou spirituel (sourire, prière...).

    Accepter avec gratitude tous les dons que l'on reçoit.

    Il peut s'agir de ceux de la Nature (lumière du soleil, chant des oiseaux, pluie d'automne) mais aussi des présents que d'autres personnes nous offrent, que ceux-ci aient une forme matérielle comme l'argent ou spirituelle comme un compliment ou une prière.

     

     

    Prendre l'habitude de protéger la circulation de la richesse dans sa vie en donnant et en recevant les biens les plus précieux de l'existence :

    l'attention, l'affection, le respect et l'amour.

     

                      3ème Loi : Loi du Karma ou Loi de cause à effet

     

    Prendre l'habitude d'être témoin de ses choix.

    Le meilleur moyen de préparer le futur est en effet d'être totalement conscient du présent.

    Chaque fois que l'on doit prendre une décision se poser les deux questions suivantes :

        "Quelles sont les conséquences du choix que je suis en train de  faire ?" 

         et

         "Apportera t-il satisfaction et bonheur à moi-même comme à  tous ceux qui en seront affectés ?"

     

    Ecouter les réactions de son corps.

    Si le choix que l'on s'apprête à faire apporte du confort alors on pourra s'y abandonner.

    Dans le cas contraire, il est nécessaire de réexaminer les conséquences de son action.

     

                        4ème Loi : Loi du Moindre Effort

     

    Pratiquer l'abandon.

    Prendre l'habitude d'accepter les personnes, les évènements, les circonstances et les situations comme elles se présentent.

    Accepter les choses comme elles sont et non comme nous voudrions qu'elles soient.

    Assumer la responsabilité de notre situation en face de tous les évènements que nous considérons comme des problèmes. Ne blâmer personne, y compris nous-mêmes.

    Prendre conscience que tout problème constitue une opportunité déguisée. Abandonner notre besoin de défendre notre point de vue.

    Rester ouvert à tous les points de vue sans chercher à s'attacher à un d'entre eux.

     

                            5ème Loi : Loi de l'Intention et du Désir

     

    Etablir une liste de tous ses désirs et se la remémorer régulièrement, notamment le soir avant de se coucher et le matin au réveil.

    Confier ses désirs à la matrice de la création.

    Prendre conscience que si les choses ne se présentent pas comme prévu, c'est qu'il y a une raison à cela.

    Prendre l'habitude de pratiquer la conscience du moment présent. Accepter ce présent comme il vient et créer la manifestation du futur par son attention et ses désirs les plus profonds et les plus chers.

     

                            6ème Loi : Loi du détachement

     

    Prendre l'habitude d'offrir à soi-même comme à autrui la liberté d'être ce que l'on est.

    En ne cherchant pas à tout prix une solution à ses problèmes, on évitera de s'en créer d'autres.

    Participer à tout avec un engagement détaché.

    Accepter l'incertain parce que c'est le seul chemin vers la liberté.

    Prendre l'habitude d'entrer dans le champ de tous les possibles et anticiper le bonheur de rester ouvert à une infinité de choix.

     

                           7ème Loi : Loi du Dharma ou but de la vie

     

    Prendre l'habitude de nourrir avec amour le ou la déesse qui vit au plus profond de son âme.

    Etablir une liste de ses talents particuliers, ce que l'on aime faire.

    Se poser chaque jour les deux questions suivantes :

    "Comment puis-je aider ?"   et     "Comment puis-je servir ?"

     

     


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    Un homme un peu simple d'esprit cherchait à attraper son ombre. Mais, lorsqu'il avançait d'un pas, elle avançait aussi. S'il courait, elle courait. Et, lorsqu'il se retournait, il la voyait qui le poursuivait.

    A la poursuite de son ombre


    Cette scène cocasse se déroulait sur la Grand-Place d'un village. Et toutes les personnes assemblées riaient de le voir faire.


    Mais un homme sage qui passait leur donna la leçon suivante :


    - Si vous riez de ce simple d'esprit, riez aussi de vous-mêmes, car vous êtes pareils à lui. Sans cesse vous poursuivez des ombres qui s'enfuient : honneurs, richesses, beauté, pouvoirs... Jamais vous n'avez le cœur en paix !


    Les rires cessèrent et l'homme sage passa son chemin.

     

     

    Ivan Andreievitch Krylov

     

     


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  • Je suis ?

     

     Deux hommes, tous les deux gravement malades, occupaient la même chambre d'hôpital. L'un d'eux devait s'asseoir dans son lit pendant une heure chaque après-midi afin d'évacuer les sécrétions de ses poumons, son lit était à côté de la seule fenêtre de la chambre. L'autre devait passer ses journées couché sur le dos.

     Les deux compagnons d'infortune se parlaient pendant des heures. Ils parlaient de leurs épouses et de leurs familles, ils décrivaient leur maison, leur travail, leur participation dans le service militaire et les endroits où ils avaient été en vacances.

    Et chaque après-midi, quand l'homme dans le lit près de la fenêtre pouvait s'asseoir, il passait le temps à décrire à son compagnon de chambre tout ce qu'il voyait dehors. L'homme dans l'autre lit commença à vivre pour ces périodes d'une heure où son monde était élargi et égayé par toutes les activités et les couleurs du monde extérieur. De la chambre, la vue donnait sur un parc avec un beau lac, des canards et des cygnes jouaient sur l'eau tandis que des enfants faisaient voguer leurs bateaux modèles réduits. Des amoureux marchaient bras dessus, bras dessous, parmi des fleurs aux couleurs de l'arc-en-ciel, de grands arbres décoraient le paysage et on pouvait percevoir la ville se dessiner au loin. Pendant que l'homme près de la fenêtre décrivait tous ces détails, l'homme de l'autre côté de la chambre fermait les yeux et imaginait la scène pittoresque.

    Lors d'un bel après-midi, l'homme près de la fenêtre décrivit une parade qui passait par-là. Bien que l'autre homme n'ait pu entendre l'orchestre, il pouvait le voir avec les yeux de son imagination, tellement son compagnon le dépeignait de façon vivante... Les jours et les semaines passèrent.

     Un matin, à l'heure du bain, l'infirmière trouva sans vie le corps de l'homme près de la fenêtre, mort paisiblement dans son sommeil. Attristée, elle appela les préposés pour qu'ils viennent prendre le corps.

    Dès qu'il sentit que le temps était approprié, l'autre homme demanda s'il pouvait être déplacé à coté de la fenêtre. Heureuse de lui accorder cette petite faveur l'infirmière s'assura de son confort et le laissa seul.

     Lentement, péniblement, le malade se souleva un peu, en s'appuyant sur un coude pour jeter son premier coup d'œil dehors. Enfin, il aurait la joie de voir par lui-même ce que son ami lui avait décrit. Il s'étira pour se tourner lentement vers la fenêtre près du lit. Or, tout ce qu'il vit, fut un mur !...

     L'homme demanda à l'infirmière pourquoi son compagnon de chambre décédé lui avait dépeint une toute autre réalité. L'infirmière répondit que l'homme était aveugle et ne pouvait même pas voir le mur.

    "Peut-être a-t-il seulement voulu vous encourager" commenta-t-elle...

     

      

      


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    1 - Etre totalement dans son corps

     

    Vous vous promenez à la campagne un dimanche matin. C'est beau. Il y a des fleurs. Et vous prenez conscience, tout à coup, que depuis dix minutes, vous n'avez rien vu, rien senti, rien entendu. Vous étiez complètement absorbée par votre discours intérieur. Vous étiez « ailleurs ». Dans le futur, dans le passé, dans vos histoires avec Pierre, Jean, Jacques.

    Si vous revenez ici et maintenant, vous prenez soudain conscience de la caresse du vent sur votre peau, vous entendez de nouveau les enfants crier au loin, vous prenez de nouveau conscience du jaune et de l'orange des fleurs dans le champ.

    ABC de la méditation

     

    La pensée a pour fonction de nous amener dans le passé et le futur.  Pour le corps, il n'y a ni passé ni futur. Il y a seulement ce qui se passe dans l'instant.

    Nous ne sommes jamais tout à fait là. Nos pensées, disent les Orientaux, nous hypnotisent. Elles sont comme un voile devant nos yeux, un écran de fumée qui encrasse les fenêtres de nos sens. Nous substituons continuellement la pensée à l'expérience directe.

    Dans les cultures orientales, ce discours intérieur incessant et quasi permanent constitue le principal obstacle à la connaissance et à La réalisation de soi-même. « Perdez la tête et retrouvez vos sens » est devenu, au cours des années le leitmotiv des nouvelles approches en psychologie. On rejoint par là un des éléments essentiels de la sagesse zen.

     

     

    2 - Méditer, c'est devenir attentif à ce qui se passe ici et maintenant

     

    Méditer n'est pas non plus réfléchir à quelque chose. Au contraire, l'essentiel de la méditation consiste à ne plus penser du tout, à laisser le silence s'installer en soi. En fait, méditer n'est pas à proprement parler un acte. C'est plutôt un état. Une façon d'être.


    On a toujours l'esprit occupé. On finit par être si habitués à l'agitation de notre esprit, au trafic incessant de nos pensées, qu'on finit par croire que ces pensées sont l'essence même de notre moi. On a fini par oublier que notre nature de base en est une de silence intérieur et que lorsque nous touchons des plages de ce silence, nous pouvons toucher du même coup l'extase d'exister tout simplement.


    Les préjugés sur la méditation sont nombreux. On voit en la méditation un acte exotique, compliqué, alors qu'on peut méditer en mangeant, en marchant, en faisant la vaisselle.

    « Quand je mange, je mange ; quand je bois, je bois ; quand je dors, je dors », dit le maître zen à son disciple qui lui demande le secret de sa paix intérieure. « Simplement ça ? », dit le disciple déçu.

    Facile ? Essayez donc de manger pendant plus dune minute sans penser à autre chose...

     

    3 - Méditer, c'est s'éveiller à sa vraie nature

     

    Le grand mythologue américain Joseph Campbell montrait du doigt l'ampoule du plafond à ses étudiants et leur demandait :

    ABC de la méditation

    « Êtes-vous l'ampoule ou la lumière qui passe à travers l'ampoule ? » Il considérait la réponse à cette question essentielle. Qui suis-je ? Suis-je la lampe ou la flamme à l'intérieur de la lampe ? Ou suis-je les deux ?


    Les sages, les saints et les êtres éveillés de différentes cultures nous répètent constamment que nous sommes la lumière qui passe à travers l'ampoule, alors que nous nous tuons à nous identifier à l'ampoule et que nous refusons de croire que nous pouvons être aussi la lumière.

    Méditer, c'est commencer à réaliser que si notre corps est l'ampoule qui contient la lumière, notre conscience, elle, est cette lumière qui circule indépendamment des courts-circuits ou des bris de verre. Nous sommes beaucoup plus vastes que ce que nous croyons.


    Un soufi  qui toute sa vie s'est prosterné devant son Dieu, a, sur ses derniers jours, le « flash », la révélation : « Je suis celui que j'adore ».


    Pour bon nombre de traditions orientales, il n'y a pas de Dieu extérieur à nous-même. Il n'y a, disions-nous, que des êtres réalisés, « éveillés », et d'autres qui ne le sont pas. Nous sommes tous des Bouddhas non arrivés à terme.


    Le Bouddha en moi ressemble en certains points à un chat ou à un bébé.

    Merveilleux bébés d'avant la culture !

    Observez-les : entiers, curieux, présents totalement ici et maintenant.

    C'est le sens du « redevenez comme des enfants » du Christ et, encore une fois, de la plupart des traditions mystiques.

    Non pas « Retombez en enfance », non pas « Redevenez infantiles », mais retrouvez en toute conscience la pureté, la curiosité animale, la totalité des tout-petits.

    ABC de la méditation

    Le tao a une superbe image qui résume bien la maturité consciente du vieillard et la spontanéité radicale de l'enfant : celle du vieil enfant. Devenez le vieil enfant. Retrouvez l'expérience directe d'un enfant découvrant le monde. Voyez, sentez, touchez, goûtez comme si c'était la première et la dernière fois. Cultivez la sagesse du vieillard qui a vu mille fois l'eau couler sous le pont, et qui sait d'expérience que tout change, et l'innocence de l'enfant qui sait voir un trésor dans une goutte d'eau.

     

    4 - Méditer n'est pas en soi un acte exotique

     

    Au-delà des méthodes issues de différentes cultures, les méditations ont toutes un fondement commun : la relaxation, l'observation et la neutralité.


    Relaxation du corps, parce qu'un corps tendu ne sent pas, parce que le corps n'est que l'expression physique du mental et qu'à un corps tendu correspond un mental agité.


    Observation : commencer à observer ce qui se passe en dedans de vous : les sensations les émotions les pensées qui vont et viennent.


    Neutralité : la méditation n'a pas pour objectif d'être bien.  La méditation a pour but de nous permettre d'accueillir tout ce qui est. Comme un miroir. Le miroir ne choisit pas de refléter ce qui est beau et bon, et de ne pas refléter ce qui est laid ou mauvais. Il ne fait que refléter ce qui est.

     

    Reste que la plupart des techniques méditatives nous viennent au départ de l'Orient. Pendant qu'ici, on parle de gens malades et de gens bien portants, en Orient, on parle de gens endormis et de gens « éveillés ».

    Toutes les techniques orientales de méditation visent la même chose : éveiller la personne, la sortir de la demi-conscience de la vie ordinaire. 

    Comment ?

    En étant présent. Uniquement être présent. Jour après jour. Sans intervenir.

    Être présent à sa respiration sans la changer. Être présent à ses pensées, ses émotions, ses sensations, devenir le témoin de soi-même.


    Gurdjieff, l'un des grands maîtres spirituels du XXe siècle, en Occident, parle d'un témoin qui existe en chacun de nous, mais dont nous sommes coupés. Lorsque nous parlons, quelqu'un en nous reste silencieux, lorsque nous courons dans toutes les directions, quelqu'un en nous demeure immobile. Lorsque nous sommes en colère, lorsque nous désirons passionnément, quelqu'un en nous est là qui, simplement, observe.

    Le témoin n'est pas le « je » qui pense, le témoin n'est pas le « je » qui souffre et qui aime. Il ne juge pas, il ne condamne pas, il ne dit pas « Ceci est bon » et « Ceci est mauvais ». Il ne dit pas « Cela devrait être ». Il n'a ni émotion, ni pensée, ni attente, ni âge. Il existe en nous au-delà de tous nos scénarios, de tous nos préjugés, au-delà de notre histoire personnelle.

     

    5 - Commencer à prendre conscience du mécanisme de  la pensée

     

    Une des premières découvertes du méditant consiste à mettre en lumière tout le fonctionnement interne de la formation des pensées et des images. Pas de façon intellectuelle, mais par la simple auto-observation.

    Avez-vous déjà observé comment se forme une pensée ?

    D'abord, elle est vague, lointaine. Puis elle se précise peu à peu et envahit tout votre champ mental.  Puis elle redevient de nouveau imprécise et disparaît.

    Même processus pour les émotions et les sensations. Elles émergent, éclatent et disparaissent comme des fleurs.

    ABC de la méditation
    Méditer, c'est apprendre à voir les événements de votre vie pour ce qu'ils sont : des nuages passagers.


    Vous êtes le ciel. Pensées, émotions, sensations, toutes les choses qui vous arrivent sont des nuages. Parfois les nuages sont noirs, parfois les nuages sont blancs, parfois ils s'accumulent jusqu'à masquer le ciel, parfois ils passent rapidement. Ils vont, ils viennent. Peu importe leur nombre, leur couleur, le temps qu'ils restent, ils ne sont que des nuages. Et vous, le ciel, vous demeurez inchangé.

     

    6 - Méditer, c'est aussi prendre contact avec ce qui en vous ne change pas

     

    Les soufis nomment cela l'état d'hôte.

    Il y a l'hôte (vous) et il y a les invités (les pensées, les émotions, les sensations).

    Ne confondez pas l'hôte et les invités.

    Ne vous identifiez pas aux invités. Ils ne sont pas faits pour rester.

    C'est dans ce sens que bon nombre de traditions mystiques parlent de détachement. Il y a vous, et il y a la tristesse qui maintenant passe en vous. 

    N'accrochez pas. La tristesse n'est que l'invitée qui passe dans l'auberge.

    Tôt ou tard elle sen ira. Seul l'hôte demeure.

     

    7 - Méditer, c'est commencer à s'aimer et à s'accepter sans se juger

     

    Nous nous jugeons continuellement. Et le jugement nous fait sortir automatiquement de l'état méditatif. Le jugement requiert une comparaison constante du passé et du présent. Il nous ramène tout de go dans nos pensées. Il est peut-être nécessaire pour vivre en société, mais quand on revient à l'intérieur de soi, il devient une barrière, un obstacle.

    Quand on se juge, on s'empêche d'être comme on est.

    Plus vous prenez vos sentiments pour ce qu'ils sont (des nuages, des invités), plus vous vous regardez avec une sorte de bienveillance souriante. Tout passe. Et vous le savez. Vous vous permettez de plus en plus d'être totalement ce que vous êtes.

     

    8 - Méditer, ce n'est rien d'autre que revenir chez soi

     

    En fait, il n'y a rien à faire dans la méditation.

    Ce n'est pas réciter un mantra, ce n'est pas faire une prière. Tout cela, c'est la technique qui ne fait que préparer la chambre pour recevoir l'invité.

    Méditer est simplement revenir chez soi et prendre un peu de repos. Il n'y a pas un « autre part» où aller dans la méditation.

     

    ABC de la méditation

     

    Il s'agit seulement d'être là où vous êtes, d'occuper tout l'espace où vous êtes.

    C'est ça, méditer.

     

    Paule Lebrun

     


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    « Ce qui trouble les hommes, ce ne sont pas les choses, mais les Jugements qu'ils portent sur ces choses. Lorsque donc nous sommes traversés, troublés, chagrinés, nous ne nous en prenons jamais à un autre, mais à nous même, c'est à dire à nos jugements propres.

     

      Accuser les autres de ses malheurs est le fait d'un ignorant ;

      S'en prendre à soi-même est le fait d'un homme qui commence à s'instruire ;

      N'en accuser ni un autre ni soi-même est le fait d'un homme parfaitement instruit."

     

     

    Epictète

     


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    Achat

    Une femme se voyait en rêve parmi les plus fabuleux magasins de la ville. Toute surprise, elle découvrit Dieu lui-même derrière le comptoir le mieux fourni.


    - Que vendez-vous donc ? lui demanda-t-elle.


    - Tout ce que ton cœur désire, lui répondit Dieu


    Emerveillée, la femme se décida à requérir les plus précieux joyaux qu'un être humain peut se prendre à souhaiter :


    - Je veux acheter la paix du cœur, l'amour, le bonheur, la sagesse et l’impunité contre toute crainte et toute angoisse.


    Puis, en se reprenant elle ajouta :


    - Pas pour moi seulement, mais pour tous les hommes.


    Dieu sourit alors et lui dit :


    - Je crois que tu te trompes, mon amie, nous ne vendons pas les fruits, mais seulement les semences.


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  • Act

     


     

    La Thérapie d’Acceptation et d’Engagement (ACT)  est une forme de thérapie comportementale et cognitive, scientifiquement validée, relativement nouvelle en France et dans le monde francophone.   

     L'ACT est basé sur six processus de bases faisant l'objet d'études scientifiques :

    la pleine conscience, la distanciation d'avec les pensées, le moi profond, l'acceptation, les valeurs, l'action engagée.

     Son but est de promouvoir la flexibilité psychologique en promouvant une manière de vivre avec ses ressentis et pensées difficiles autre que la lutte. Plus de vitalité, et moins de lutte.

    Cela implique :

    Présent : Être présent à l’expérience du moment

    Décroché : Avoir la capacité de se décrocher de ce que les pensées disent quand ce qu’elles disent ne fait pas avancer

    Action vers ses valeurs : Engager les actions qui vont dans les directions importantes

    Elle désamorce l’influence excessive des émotions et du langage sur nos actions en démontrant que nous avons le droit de ne pas croire tout ce que nous pensons.

    Il s’agit ainsi d’apprendre, non pas à éradiquer ou à lutter contre nos pensées, mais à les accueillir pour avancer en direction de ce qui est vraiment important pour nous.

     

     

     

     

      


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    Aimer

    Aimer quelqu’un c’est le lire.

    C’est savoir lire toutes les phrases qui sont dans le cœur de l’autre, et en lisant le délivrer.

    C’est déplier son cœur comme un parchemin et le lire à haute voix.

    Une mère lit dans les yeux de son enfant avant même qu’il sache s’exprimer.

    Il suffit d’avoir été regardé par un nouveau-né pour savoir que le petit homme sait tout de suite lire. Il dévore le visage de l’autre.

    Ce qui peut se passer de plus terrible entre deux personnes qui s’aiment, c’est que l’une des deux pense qu’elle a tout lu de l’autre et s’éloigne.

    Peut-être que chacun de nous est comme une maison avec beaucoup de fenêtres On peut appeler de l’extérieur et une ou deux fenêtres vont s’éclairer mais pas toutes.

    Et parfois, exceptionnellement, ça va s’éclairer partout, mais ça, c’est extrêmement rare. Quand la vérité éclaire partout, c’est l’amour.

     

     


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  • Alessandro Jodorowski

     

    Fils d'émigrants russes exilés au Chili, Alexandro Jodorowsky commence sa carrière artistique comme marionnettiste ambulant.

    Il part pour la France à 24 ans et intègre la compagnie Marcel Marceau. Cinq ans plus tard, il abandonne la troupe pour devenir peintre en bâtiment. Il rencontre Roland Topor et Fernando Arrabal avec qui il crée un anti-mouvement artistique, ‘Panique’, visant à dépasser le surréalisme.

    Puis il repart en Amérique du Sud où il reste dix ans. Là, en plus de la pantomime, il crée le théâtre d'avant-garde de Mexico, et réalise trois films dont ‘El Topo’, qui devient le film culte de la génération psychédélique.

    Il se lance alors dans la bande dessinée. Après ‘L'Etranger’ avec Manuel Moro, il crée avec Moebius le personnage de John Difool. La série de ‘L’Incal’ impose Jodorowsky comme l'un des scénaristes les plus originaux et les plus prolifiques.

    Auteur de plusieurs romans, essais et poèmes, il est aussi mystique.

    Inventeur du concept de psychomagie, il est le spécialiste incontesté du Tarot de Marseille.

    En 2006, ses films 'El Topo et 'La Montagne sacrée' bénéficient d'une restauration et sont à nouveau distribués. La même année, après des années de silence en réalisation, il tourne 'King Shots'. En 2013, Alexandro Jodorowsky est sélectionné à la Quinzaine des Réalisateurs au Festival de Cannes pour son film 'La Danza de la realidad'.

    On peut dire que Jodorowsky se plaît à goûter à toutes les formes d'art existantes. Et le pire, c'est qu'il arrive toujours à se faire remarquer dans chacun des domaines auquel il appose sa marque.


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  • Allergie et produits ménagers

     

     

    A lire

     


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  • Jusqu’à récemment considéré comme inoffensif, l’aluminium, naturellement présent dans notre environnement, s’est imposé dans tous nos produits de consommation. Aujourd’hui, on peut légitimement se demander si à de telles concentrations, cet élément ne serait pas responsable de certains de nos problèmes de santé.

    Aluminium et déodorant = risque de cancer du sein

    Aluminium et eau de boisson = risque de maladie d’Alzheimer

    Aluminium et vaccins = risque de myofasciite à macrophages

    L’aluminium est utilisé dans les cosmétiques, les aliments, l’eau de boisson, les vaccins, les ustensiles de cuisine et toutes autres sortes de produits de consommation courante.

    Au final, nous nous retrouvons exposés à des concentrations d’aluminium de plus en plus élevées...

    Reste à prouver que l'aluminium est toxique et aujourd’hui les preuves commencent à s’accumuler...

     

    http://www.agoravox.fr/actualites/sante/article/l-aluminium-ce-poison-legal-qui-110374

     

     

     

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    L'aluminium des vaccins serait un déclencheur de la myofasciite à macrophages.

     Une pathologie identifiée en France à la fin des années 90 qui se traduit par des douleurs musculaires et une grosse fatigue chez des personnes génétiquement prédisposées.

      Un mal qui pourrait être évité s'il n'y avait pas de conflits d'intérêts, selon une spécialiste interrogée par les journalistes de France 3 Claudine Gilbert et Loïc Houeix.

     Actuellement, il n’y sur le marché aucun vaccin sans aluminium !!!!


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    Je suis ?

     

      

     Il y a des âmes chercheuses et qui n'ont pas encore trouvé leur chemin spécifique dans cette vie,  elles essaieront un chemin après l'autre et le suivront sur une certaine distance, puis elle se rendront compte qu'il n'est pas pour elles et puis recommenceront sur un autre chemin. 

     Elles continueront ainsi jusqu'à ce qu'elles aient trouvé le bon. Elles le trouveront si elles cherchent avec assiduité et n'abandonnent jamais leur recherche.

    Si tu as trouvé ton chemin juste, va toujours de l'avant et ne perds pas de temps  à regarder en arrière ou à critiquer les âmes qui cherchent encore.

      

    "La petite voix". Eileen Caddy.
     


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    Je suis ?

      

    Lors d'un combat acharné et épuisant contre Darius, Alexandre le Grand prit un bain glacé qui lui fit perdre connaissance.

     Au terme d'une nuit, il reprit ses sens, mais demeura extrêmement faible et dut rester alité. Ses médecins, craignant de le perdre, ne savaient plus que faire.

    Un ami d'enfance, Philippe, était médecin, mais proche de son ennemi Darius. Celui-ci lui avait demandé d'attenter aux jours d'Alexandre.

    Un officier prévenu de cette malversation, mit en garde Alexandre et lui adressa un courrier en urgence. Il était en train de lire ce pli, lorsque Philippe apporta un breuvage puissant censé le remettre sur pied.


    Alexandre tendit la lettre à Philippe et but d'un trait la potion. La nuit passa dans l'anxiété des uns et des autres.


    Le matin venu, Alexandre était guéri.




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    Amour Céleste

    Aujourd'hui, trop de femmes ne cherchent plus l'amour mais un homme dans leur vie.

    Aimer fait peur, c'est une expérience qui envahit tout l'être, le bouleverse, le déborde et le dépouille. Comme le disait Thérèse d'Avila : “L'amour est dur et inflexible comme l'enfer”...

    Ainsi, Marie Madeleine croit absolument et aime absolument. Il n'y a pas ici de demi-mesure. Elle aime Jésus jusqu'au bout, même lorsqu'il est bafoué, trahi, agonisant et défiguré sur la croix. Elle est fidèle à cet amour, follement fidèle. Comme elle, j'ai le sens de l'amour total, donné une fois pour toutes. Si l'amour vient du cœur, s'il est mieux qu'un sentiment, un engouement et un désir physique, il dure par-delà le conflit, la séparation, le trépas. Aimer est une grâce et une gravité.

    Mais prendre le risque de l'amour, ce “beau risque”, comme le disait Socrate à propos du mythe, agrée aux cœurs libres.

    Une femme, tout particulièrement, devrait inviter à cette aventure chevaleresque et à cette passion qu'est l'amour. Quand on considère le code de le Fin Amor (“parfait amour”) des XIIe siècle, quand on lit les poèmes et les romans courtois du XIIe et XIIIe siècles ainsi que les récits mystique des Fidèles d'Amour persans, c'est toujours la Dame - une femme “sage et belle”, autant dire éveillée - qui inspire et oriente chevaliers et troubadours dans leur quête.

    La Dame est la manifestation d'un amour infini, céleste, elle en est aussi la médiatrice.

    Toute femme devrait être consciente de ce rôle souverain.

    De nos jours, on a tendance à oublier que l'amour humain est d'abord une union mystique des âmes et des esprits. Ensuite seulement, et comme de surcroît, l'union des corps peut s'accomplir, tels un cantique et une prière.

    En s'affairant uniquement dans le sexuel, notre époque a tout inversé et tout saccagé !

    Selon le Fin' Amor, né en pays d'Oc, les amants courtois vivent le « long désir », une approche infinie où jouent les affinités du cœur et des rêves : ils ont tout le temps puisque l'amour est éternel ! Dans cet art d'aimer - qui n'est pas révolu - il y a toujours trois présences : l'homme, la femme et le mystère de l'amour. Il y va de notre honneur de nous rendre digne de ce mystère, de nous affiner, de nous élever jusqu'à lui.

    Pour ma part, je vais au combat sans relâche pour sauver la beauté et le mystère de l'amour. C'est ma tâche de “guerrière spirituelle” qui consiste à répondre de l'Amour en un monde qui le profane et le crucifie...

     

    Jacqueline Kelen


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  • L'amour n'est pas un sentiment à la portée de n'importe qui : il dépend de notre degré de maturité.

    Les gens pensent qu'il est simple d'aimer, mais qu'il est difficile de découvrir le bon objet à aimer ou qui les aimera.

    Toute notre culture se fonde sur un appétit d'achat, sur l'idée d'un échange mutuellement profitable. (...) «Attrayant» signifie d'habitude un joli paquet de qualités qui jouissent de popularité et sont recherchées sur le marché de la personnalité. (...)

    Ainsi deux personnes tombent-elles amoureuses lorsqu'elles ont le sentiment d'avoir découvert le meilleur objet disponible sur le marché, compte-tenu des limitations de leur propre valeur d'échange.

    Dans une culture où prévaut l'orientation commerciale et dans laquelle le succès matériel constitue la valeur éminente, il n'y a guère de quoi s'étonner que les relations amoureuses suivent le même modèle d'échange que celui qui gouverne le marché des affaires et du travail. (...)

    Si deux personnes qui sont étrangères, comme nous le sommes tous, laissent soudainement s'abattre le mur qui les séparait, et se sentent proches, se sentent une, ce moment d'unicité est une des expériences les plus vivifiantes et les plus émouvantes de la vie. Il est d'autant plus merveilleux et miraculeux pour les personnes qui ont vécu séparées, isolées, sans amour.

    Ce miracle de soudaine intimité est souvent facilité s'il s'associe à, ou est suscité par l'attraction et la consommation sexuelle. Cependant, de par sa nature même, ce type damour n'est pas durable. Les deux personnes s'accoutument l'une à l'autre, leur intimité perd de plus en plus son caractère miraculeux, jusqu'à ce que leur antagonisme, leurs déceptions, leur ennui mutuel, tuent ce qui a pu subsister de l'émoi initial.

    Mais voila, au début elles ne se doutent de rien : elles prennent en effet l'intensité de l'engouement, cet état d'être «fou» l'un de l'autre, pour une preuve de l'intensité de leur amour, alors que cela ne fait que révéler le degré de leur solitude antérieure.

     

    Erich Fromm

     


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