• Expériences

    Expériences scientifiques, études........

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    Cerveau droit et gauche ::))

     

     

    Le test du cerveau est un jeu amusant et perspicace qui nous aide à en savoir plus sur nous-mêmes et notre façon de penser. Il n'y a pas de bonnes ou mauvaises réponse, il teste simplement l'équilibre entre les hémisphères droit et gauche du cerveau.

    Le test de cerveau n'est pas mesurer la connaissance comme un jeu d'entraînement de cerveau fait, et il n'est pas conçu pour le développement du cerveau, mais il nous apprend beaucoup sur notre cerveau ; le résultat révèle aux utilisateurs combien ils utilisent les hémisphères droit et gauche du cerveau.

    Test

     Cerveau droit et gauche ::))

    Nos hémisphères ont un mode de pensée bien différente. En règle générale , les hommes se serviraient plus du cerveau gauche , celui-ci étouffant par sa logique le cerveau droit intuitif et sentimental.


    Les personnes les plus créatives sont celles qui utilisent au mieux l'hémisphère approprié à la tâche à effectuer.

    Le cerveau humain est organisé pour fonctionner en tant qu’unité parfaite dans toutes les circonstances de la vie. Bien que ces deux hémisphères aient des fonctions bien distinctes, nous ne pouvons fonctionner de manière optimale que si les deux cerveaux sont mobilisés en même temps.


    Le problème est de développer un hémisphère plus que l’autre, ce qui déséquilibre l’ensemble.
     
    Sous l’influence de l’éducation, de la société et des préjugés qui nous entourent, nous limitons à partir de l’âge de trois ans notre capacité à mobiliser les deux cerveaux. Et nous choisissons inconsciemment l’un ou l’autre.
     
    Dans notre société occidentale, la plupart du temps pour ne pas dire toujours, nous optons pour le cerveau gauche, rationnel, organisé, limité qui va suivre les règles imposées. Nous laissons de côté notre côté «artiste», créatif, spontané.
     
    Nous réfléchissons plus que nécessaire avant d’agir au point de ne plus être ni «naturel», ni «authentique», ni spontané».

     

    La théorie veut que plus les hémisphères fonctionnent au même rythme, plus grand est le bien-être.

     

     

    Olivier Clerc

     


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  • Les rats sont d'excellents nageurs.

    Pour vérifier cette capacité, des scientifiques du département d'étude du comportement de l'Université de Nancy ont disposé une cage avec une seule sortie, un tunnel menant sous l'eau d'une petite piscine. Pas de possibilité de remonter à la surface, le haut est bouché par une plaque.

    Les rats doivent donc nager en apnée pour traverser la piscine et aller chercher de la nourriture à un distributeur de graines placé à l'autre bout de la piscine. Au début, tous les rats ont essayé de nager. Mais peu à peu ils se sont répartis les rôles.

    Sur des cages comprenant six rats, sont spontanément apparus :

    deux rats exploiteurs, deux rats exploités, un rat autonome et un rat souffre-douleur.


    Les exploités nagent pour aller chercher les graines et les exploiteurs raflent leur pactole. Une fois les exploiteurs repus, les exploités sont autorisés à repartir se nourrir eux-mêmes.


    L'autonome est un rat qui nage pour obtenir ses graines et se bat férocement au retour pour les manger seul.

    Quant au souffre-douleur, n'étant capable ni de nager ni de terroriser les autres, il n'a pas d'autre choix que de se contenter des miettes.


    Tous les rats maltraitent le souffre-douleur et tous les exploiteurs frappent les exploités, sans doute pour rappeler à chacun son rôle.

    Mais le plus troublant est que si l'on réunit tous les exploiteurs dans une même cage, ils se battront toute la nuit et au matin réapparaîtront de nouveau deux exploiteurs, deux exploités, un autonome et un souffre-douleur.


    Il en ira de même si on rassemble des exploités, des autonomes ou des souffre-douleur. Dans tous les cas, cette répartition des rôles reprend le dessus.

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    L'expérimentateur a augmenté le nombre des rats jusqu'à en introduire deux cents dans la cage. Longue bataille nocturne.

    Au matin, apparut une classe de super-exploiteurs ayant créé plusieurs strates de sous-fifres afin de répercuter leur autorité en se fatiguant encore moins.

    Ils n'avaient même plus besoin de terroriser les exploités, d'autres le faisaient à leur place.

    Autre surprise : à l'autre bout de l'échelle les souffre-douleur étaient encore plus martyrisés. Comme en guise d'avertissement trois d'entre eux avaient été entièrement dépecés par leurs congénères et crucifiés sur la grille de la cage.

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    Les scientifiques de Nancy sont allés plus loin encore dans leurs recherches.

    Ils ont ouvert les crânes de leurs sujets et disséqué leurs cerveaux.

    Ils ont découvert que ceux qui avaient le plus de molécules de stress n'étaient pas les souffre-douleur ou les exploités, mais bel et bien les exploiteurs qui tremblaient de perdre leur statut de privilégiés et d'être obligés de devoir nager à leur tour pour se nourrir.


     


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    Communication

      

    Pour désamorcer une dispute, la méthode XYZ inventée par le psychologue Haim Ginott, père de la communication efficace, fait merveilles.

     Dites : " Quand tu as fais X, j’ai ressenti Y et j’aurais préféré que tu fasses Z. "

     Par exemple : " Quand tu m’as dit que j’étais rentré trop tard, je me suis senti coupable d’être un mauvais père. J’aurais préféré que tu me prennes dans tes bras et que tu me réconfortes au lieu de m’enfoncer.

      

    Entre

    Ce que je pense
    Ce que je veux dire
    Ce que je crois dire
    Ce que je dis
    Ce que vous avez envie d'entendre
    Ce que vous croyez entendre
    Ce que vous entendez
    Ce que vous avez envie de comprendre
    Ce que vous croyez comprendre
    Ce que vous comprenez

    Il y a dix possibilités qu'on ait des difficultés à communiquer.
    Mais essayons quand même...

      

    Bernard Werber

      

     

     


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    Humour en vidéo

      

    Les habitudes ou les traditions sont souvent issues d’un premier fait qui était important, mais bien souvent, les hommes les perpétues alors qu’elles ne sont plus utiles...

    Un groupe de scientifiques plaça cinq singes dans une cage et, au milieu de celle-ci, un escabeau avec des bananes. À chaque fois qu’un des singes tentait de grimper à l’escabeau, une douche glacée aspergeait automatiquement les autres.

    Au bout d’un certain temps, à chaque fois qu’un des singes faisait mine de vouloir grimper sur l’escabeau, les autres le frappaient (par crainte de prendre une douche glacée). Bien entendu, au bout de quelque temps, aucun des singes ne se risqua plus à grimper sur l’escabeau malgré la tentation.

    Les chercheurs décidèrent alors de remplacer un des singes.

    La première chose que fit le nouveau fut de vouloir monter sur l’escabeau. Aussitôt, les autres se mirent en devoir de le frapper. Quelques raclées plus tard, le nouveau membre de la communauté avait appris à ne plus grimper sur l’escabeau, sans même connaître la raison de cette interdiction.

    Un deuxième singe fut remplacé et subit le même sort que le premier. Celui-ci se joignit aux autres pour le battre dès qu’il tentait de grimper sur l’escabeau.

    Un troisième singe fut échangé et le processus se répéta. Le quatrième puis le cinquième singe furent échangés, chacun à leur tour et à des intervalles adéquats. Ils subirent le même sort à chaque fois qu’ils tentèrent de grimper sur l’escabeau.

    Le groupe de cinq singes résultant de l’expérience, bien que n’ayant jamais reçu de douche froide, continua à frapper tout nouvel arrivant qui tentait de monter sur l’escabeau.

    S’il était possible de parler avec ces singes et de leur demander pourquoi ils frappent ceux qui tentent de monter sur l’escabeau, je parie que leur réponse serait : « Je ne sais pas, mais ici c’est comme ça. »

    Edmond Wells

     

    Cette expérience à été menée dans le but d’étudier les comportements de groupe dans une entreprise. Edmond Wells - Encyclopédie du Savoir Relatif et Absolu.

     

     

     


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    Dans son ouvrage "Eloge de la lucidité" reposant sur des études scientifiques, Ilios Kotsou, chercheur en psychologie, nous invite à nous libérer des illusions qui nous empêchent d'être heureux.

     

    Eloge de la lucidité

     

    Voici  trois de ces illusions et des pistes pour les dépasser.

     

    Première illusion : pour être heureux, il suffit d'éviter toute souffrance.

    « Dès qu'une émotion désagréable surgit, nous pourrions nous en débarrasser, en ayant recours à des stratégies plaisantes comme la consommation de nourriture, de télévision, d'alcool.

    De fait, ces approches s'avèrent efficaces à court terme. Mais elles nous entraînent dans une forme d'addiction, qui nous empêche de faire face aux difficultés. En se précipitant dans la mise en place de ces stratégies d'évitement, nous ne voyons plus les soutiens extérieurs dont nous pourrions disposer. »

    La psychologue Emily Butler de l'université de Stanford a ainsi mis en évidence que l'évitement émotionnel limitait nos interactions avec les autres.

    Il serait bon d'apprivoiser nos émotions

    « Lorsqu'apparaissent nos émotions inconfortables, je propose de rester en contact avec elles. Par exemple en sentant que notre ventre se serre lorsque nous avons peur. En étant ainsi présents à ces sensations désagréables, nous pouvons comprendre ce qui les déclenche. Nous sommes alors plus à même d'agir pour faire face à cette situation. »

     

     

    Seconde illusion : pour avoir une vie agréable, il suffit d'avoir des pensées positives.

    « En cas de stress, nous pourrions transformer simplement nos pensées négatives en pensées positives. Mais en réalité, nous ne pouvons pas les contrôler sur commande.

    En psychologie, cela s' appelle « l'effet rebond ». Moins nous voulons penser à quelque chose, plus cette idée occupe une place centrale dans notre journée.

    Si je vous demande de ne pas penser à un ours blanc, vous allez réussir durant quelques secondes à porter votre attention sur autre chose, mais rapidement l'image de l'ours blanc va revenir, encore plus forte. »

    La psychologue canadienne Joanne Wood a ainsi montré que la pensée positive, utilisée comme technique, pouvait même avoir des effets négatifs sur les personnes qui traversent une période difficile.

     

    Il serait bon de se détacher de nos pensées

    « Plutôt que de supprimer nos pensées négatives, je propose de prendre de la distance en reconnaissant qu'elles ne proposent qu'une représentation partielle de ce que nous vivons. S'en détacher consiste à les observer et à les prendre pour ce qu'elles sont, des interprétations de la réalité.

    Lorsqu'une pensée difficile surgit, nous pouvons apprendre à l'observer, sans chercher à la comprendre ou à se culpabiliser de sa présence.

    Si j'estime par exemple : « je ne vais pas y arriver ». Je peux me dire :

    « tiens j'observe que j'ai la pensée que je ne vais pas y arriver. »

    Cette attitude ne nous coupe pas de la réalité, mais elle nous aide à intervenir de manière plus objective par rapport au monde réel

     

     

    Troisième illusion : pour réussir, il faudrait avoir une forte estime de soi

    « Certes il est bon d'avoir confiance en soi. Mais investir trop d'énergie à maintenir une forte estime de soi présente plusieurs inconvénients majeurs.

    Cette quête nous fait dépendre de l'évaluation des autres qui peut s'avérer bien variables.

    Elle nous pousse à abandonner les projets pour lesquels nous ne sommes pas certains de réussir, même s'ils correspondent vraiment à l'orientation que nous souhaitons donner à notre existence. »

     

    Il serait bon de cultiver la douceur avec soi-même

    « Différentes études américaines ont comparé ceux qui cultivent la douceur envers eux-mêmes et ceux qui cherchent à entretenir l'estime de soi.

    Les recherches de la psychologue Kristin Neff, de l'université du Texas ont notamment souligné que ceux qui faisaient preuve de douceur envers soi témoignent d'une meilleure santé mentale, de plus de satisfaction dans la vie, d'un sentiment d'être plus connecté aux autres, ainsi que moins d'anxiété et de perfectionnisme.

    La douceur envers soi même nous délivre d'une trop grande dépendance au regard des autres.

    En pratiquant cette auto-empathie, nous sommes moins soucieux de défendre à tout prix notre image et acceptons de ne pas être en permanence à la hauteur.

    Nous privilégions davantage ce qui nous rapproche de nos entourage plutôt que chercher à tout prix ce qui nous en distingue.

    Cette douceur s'applique notamment lorsque la vie ne va pas bien. Plutôt que de se culpabiliser pour notre manque de confiance en nous, nous prenons davantage soin de nous même.

    Cette attitude est parfois prise comme de la complaisance, mais les études montrent qu'elle a pour effet de nous plus rendre plus disponible aux sollicitations de l'extérieur. Les autres ne sont plus perçus comme ceux qui nous minent notre confiance, mais au contraire comme ceux qui peuvent nous apporter aussi réconfort et affection

     

     

     


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    Ces vingt dernières années, plusieurs travaux ont mis en avant les vertus supposées de la sonate pour deux pianos en ré majeur (sonate K448) pour les épileptiques, en mesurant l’activité électrique de leur cerveau. 

     

    En faisant écouter la sonate à 16 patients équipés d’implants à l’intérieur du crâne, ils pensent avoir identifié les régions du cerveau sur lesquelles cette musique agit. Selon eux, ces régions sont celles qui sont liées aux réponses émotionnelles.

    Ils montrent en outre qu’écouter cette sonate pendant au moins 30 secondes semble associé à une réduction d’un phénomène électrique cérébral caractéristique de l’épilepsie chez ces patients sur qui les médicaments ne marchent pas. Un effet particulièrement accentué pendant certains passages de la sonate, les moments de transition entre les phrases musicales de plus de dix secondes.

     

     

    «  La forme classique de la sonate » pourrait solliciter « des circuits émotionnels » en «  installant d’abord des attentes musicales, puis en prenant le contre-pied de ces attentes, ce qui créerait une réponse émotionnelle positive », selon Robert Quon. (département de neurologie de l’université américaine Dartmouth College)

    « Nous aimerions creuser cette théorie, car la seule autre composition dont les propriétés anti-épileptiques sont documentées est également construite selon la forme classique de la sonate, puisqu’il s’agit de la sonate pour piano en do majeur de Mozart (K545) », poursuit le chercheur.

     

    Les 16 patients sur lesquels l’étude a été menée étaient tous hospitalisés pour une épilepsie qui résistait aux médicaments. On leur a implanté des sondes dans le crâne, directement au contact du cerveau, afin de réaliser des électroencéphalogrammes pour surveiller les crises.

     

    C’est à un phénomène bien précis que se sont intéressés Robert Quon et ses collègues : les « décharges épileptiformes intercritiques ».

    « De précédentes recherches ont montré qu’elles sont des biomarqueurs de l’épilepsie et sont associées à une fréquence plus importante des crises », selon Robert Quon.

    Ce sont ces décharges épileptiformes intercritiques qui ont été réduites par l’écoute d’au moins 30 secondes de la sonate. En revanche, aucun changement de l’activité cérébrale des patients n’a été observé à l’écoute d’autres morceaux, même quand il s’agissait de leur musique préférée.

     

    Il espère désormais pouvoir identifier précisément quels composants musicaux de la sonate ont des bénéfices thérapeutiques, dans l’espoir de « reproduire l’effet Mozart » avec d’autres morceaux.


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    Faire avec

     

      

    Des scientifiques ont fait des expériences sur des fourmis. Ils ont observé que l'organisation du travail dans la fourmilière était très structurée.

    Il y avait la reine, qui pondait les oeufs, les nourrices, qui l'alimentaient, les ménagères, qui nettoyaient, les maçonnes, qui construisaient et réparaient, les ouvrières, qui cherchaient des provisions, les guerrières, qui veillaient à la défense de la fourmilière...

     Cependant 10 % des fourmis, non seulement ne faisaient rien, mais gênaient le travail des autres, se mettant en travers et parfois même défaisant ce que les autres avaient fait.

    Les chercheurs, donc, enlevèrent les 10 % gêneuses, pensant améliorer le fonctionnement du tout. Au lieu d'un ordre accru, il y eut panique. Les fourmis couraient en tous sens, se rentraient dedans...

    Au bout d'un certain temps, la fourmilière se reconstitua, et les activités reprirent. Les rôles avaient été redistribués. Chacune avait apparemment sa place. Et... à nouveau 10 % des fourmis passaient tout leur temps à entraver le travail des autres ! Les chercheurs recommencèrent trois fois.

    A chaque expérience, ils constatèrent qu'une fois supprimé les 10% " empêcheuses de tourner en rond ", il y avait désorganisation, affolement. Chaque fois que la fourmilière recommençait à fonctionner, 10 % de nouvelles fourmis avaient repris le rôle d'obstructrices du travail des autres.

    Ce qui est peut-être - ajouta la narratrice - à mettre en regard de la petite histoire suivante :

    Un gourou dirigeait un groupe de disciples qui souhaitaient progresser « sur le chemin ». L'un des membres du groupe posait sans cesse des questions, interrompait, mettait en cause, bref, gênait le travail des autres. Ces autres vinrent trouver le gourou et lui demandèrent d'expulser la mauvaise tête.

     « Moi, je veux bien, si c'est là votre souhait... », répondit le gourou.

    « ... mais lequel d'entre vous veut prendre sa place ? »

      


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    Le test du cube nous ouvrirais les yeux sur des aspects inconscients de notre personnalité.
     

    L'idée c'est de dessiner, ou d'imaginer très clairement un désert avec horizon et ciel. Vous dessinerez ensuite  comme vous le sentez et où vous le voulez de la façon que vous souhaiter, et surtout dans l'ordre, les choses suivantes :

    un cube, une echelle, un cheval, une tempête, une ou plusieurs fleurs.

      

    Jeu du cube


    1- Imaginez un paysage, une ligne d'horizon, le ciel :

    Est-ce un paysage désertique ? Montagneux ? Une prairie ? Autre chose ?

    Jeu du cube


     
    2- Dans ce paysage, il y a un cube, imaginez-le :

    Taille, couleur, matière, plein, vide, transparent, opaque. Décrivez le cube tel que vous le voyez.

      

    Jeu du cube

    3 -A présent une échelle vient s'ajouter au cube dans ce paysage :

    Hauteur, position, matière, nombre d'échelons

    Jeu du cube

      

    4 - Ensuite le un cheval. Décrivez le :


    Race, taille, couleur, ou se situe-t-il (par rapport au cube, par rapport à l'echelle), que fait-il ?

      

    Jeu du cube

    5 - Quelque part dans ce paysage, une tempête éclate. Décrivez-la.

    D'où vient elle ? Quelle est sa force ? En quoi affecte-t-elle (ou non) le cube, l'échelle et le cheval ?
    Que se passe-t-il, une fois la tempête passée ?

    Jeu du cube


     
    6 - On trouve aussi des fleurs dans ce paysage.

    Nombre, variété, couleur, emplacement. Une fois la tempête passée, comment sont elles ?

     

    A vos crayons !!!!!!!!!!!!!!!! happy

     

      

     


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    Justesse sur l’effet Mozart et ses fausses notes..
     
    Cette supposition a été propagée suite à la publication d’une étude réalisée par Rausher, Shaw et Ky (1993) dans la populaire revue Nature.
      
    Cette étude était effectuée auprès de 36 étudiants universitaires soumis à trois conditions d’écoute d’une durée de 10 minutes chacune : écoute de la Sonate pour deux pianos en ré majeur K448 de Mozart, séance de relaxation sur enregistrement et période de silence. Les sujets devaient ensuite effectuer un test mesurant les habiletés spatiales.
      
     Les résultats obtenus montrent que les personnes qui avaient écouté la musique de Mozart avant d’effectuer leur tâche obtenaient des scores supérieurs comparés aux autres. Suite à ces résultats, une trentaine d’expériences ont cependant tenté de reproduire l’effet Mozart et moins du tiers y sont parvenu. L’effet Mozart reste donc encore à valider.

    Ce manque de preuve et les multiples résultats non concluants n’ont pour autant pas freiné la vente de disques ou de livres utilisant le concept de l’effet Mozart. Le livre de Campbell (1995) L’Effet Mozart : Les bienfaits de la musique sur le corps et l’esprit, livre basé en partie sur des études de nature anecdotique, a d’ailleurs été publié peu de temps après cette recherche en utilisant un titre plutôt trompeur.  De plus, plusieurs articles dans les journaux populaires ont fait référence à l’effet Mozart en portant allusion aux bienfaits de cette musique sur l’intelligence des jeunes enfants. Pourtant, les sujets des études évaluant l’effet Mozart étaient des étudiants de collège ou des universitaires. Donc un concept difficile à reproduire a fait l’objet d’une représentation médiatique non fondée et déformée à la fois!

    Cette rumeur sur un effet possible de la musique ne devrait cependant pas enlever la crédibilité de certains effets réels de celle-ci sur l’intelligence. Par exemple, Schellenberg (2004)  a observé l’impact que peut avoir des leçons de musique sur l’intelligence chez des enfants de 6 ans. Suite à une étude utilisant des conditions méthodologiques rigoureuses, les résultats montrent que le QI des enfants du groupe qui suivaient des cours de musique augmente en moyenne de 7,6 points contre 4,3 points pour les enfants qui suivaient des cours de théâtre ou aucun cours. La musique a également des effets sur certains processus psychophysiologiques (ex. activation, humeur positive, etc.) et neuropsychologiques (cortisol, dopamine, etc.) qui sont des pistes de recherches fort prometteuses sans oublier son utilisation dans des contextes thérapeutiques par des professionnels tel que nous, les musicothérapeutes. Reste tout de même que les rumeurs scientifiques sont facilement diffusées sans être vérifiées et  tous doivent être bien vigilent avant de promouvoir celles-ci sans être certain de leur justesse!  


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  • On sait tous que notre cerveau a une influence directe sur notre cœur : la preuve, c’est qu’il se met à battre de plus en plus vite lorsque nous vivons une émotion forte (positive ou négative), lorsque nous avons peur, lorsque nous sommes en colère ou particulièrement enthousiastes.


    L’inverse est aussi vrai : la vitesse des battements de notre cœur a aussi une influence sur notre cerveau et lorsqu’on arrive à la modifier, elle peut influencer grandement nos émotions.

    Les chercheurs ont découvert que la vitesse de notre respiration est directement liée à celle de nos battements cardiaques.

     

    La cohérence cardiaque

    Et en parvenant à accorder notre cœur et notre cerveau, ils affirment que de nombreux bienfaits apparaissent.

    La cohérence cardiaque est donc une manière de régulariser la vitesse des battements de notre cœur.

    la régularité respiratoire (et donc cardiaque) permet à toutes les fonctions vitales de notre corps d’être en harmonie : libération des hormones, tension artérielle, digestion, gestion du stress, système immunitaire, etc.

     

    La base de la cohérence cardiaque, c’est l’influence de la respiration sur le cœur !

     

    Il semblerait que le nombre moyen de respirations complètes qui est lié aux émotions positives et au bien-être se situe entre 5 et 7 par minute, selon les personnes.


    Par « respirations complètes », nous voulons dire une inspiration longue et profonde et une expiration totale : le cycle est d’environ 10 secondes en tout (5 secondes d’inspiration, 5 secondes d’expiration.)

    Ainsi, pour pratiquer la cohérence cardiaque de manière efficace, il faut parvenir à modifier notre respiration pendant aussi peu que 5 minutes par période, 3 fois par jour.

     


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