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    Nous passons 80 à 90% de notre temps à l'intérieur de bâtiments et l'air que nous respirons provient à 80% d'espace clos. Il contient toutes sortes de polluants volatiles (monoxyde de carbone, benzène, formaldéhyde,...) pouvant avoir des effets nocifs sur la santé. Cela se traduit par des toux, des migraines, des irritations,...

     

    Une étude de la NASA a révélé le caractère dépolluant des plantes. Installer des plantes dites dépolluantes dans votre intérieur permet d'améliorer simplement et esthétiquement l'air que vous respirez

     

    dieffenbachiaPour humidifier l'air : Nos modes de vie actuels (climatisation, isolation qua si hermétique de nos habitations,...) nous poussent à vivre au quotidien dans des lieux où l'humidité tend à se faire rare. Il faut alors privilégier les plantes émettant de la vapeur d'eau tel que le dieffenbachia, le gerbera et le pothos. La fougère permet aussi d'humidifier l'air et de lutter contre l'électricité statique.

      

     
    lierrePour lutter contre l'odeur du tabac : Votre entourage fume et l'air de votre intérieur s'en ressent, installez dans les pièces communes des plantes qui captent entre autre le benzène de la fumée. Parmi les plus efficaces, on trouve le lierre, le sanséviera, le dracaena (toutes les variétés), le philodendron, l'azalée et le chlorophytum.


    dracaneaPour lutter contre le formaldéhyde : Le formaldéhyde est un conservateur que l'on trouve très fréquemment dans les produits qui nous entourent. Il est présent dans la fumée de tabac, dans la fumée s'échappant des poêles à bois, dans les meubles et armoires, dans les tissus (rideau, draps, vêtements), dans les produits ménagers et autres produits d'usage courant (laques, colles, vernis à ongle, peintures,...). Pour capturer ce polluant, placez un ficus (toutes variétés), un lierre, un Philodendron scandens (pothos), un kentia (palmier), un Phoenix roebelenii, un Dracaena fragans ou un aglaonema dans votre séjour.


    palmierPour lutter contre l'ammoniac : L'ammoniac est présent dans de nombreux nettoyants ménagers. Il peut entraîner des irritations des voix respiratoires. L'azalée et le palmier à cannes ont le don de piéger les petites particules d'ammoniac. Ces végétaux aiment la lumière indirecte, ils conviennent donc dans les salles de bain et les cuisines. L'anthurium, le lierre, le ficus agissent également contre l'ammoniac, placez les dans votre séjour ou votre cuisine.


    Pour lutter contre les odeurs de peinture : Le chrysanthème ou les philodendrons sont de bons dépolluants de trichloréthylène, substance utilisée dans les peintures et les solvants. Placez les dans les pièces fraîchement repeintes.


    scheffleraLes plantes au spectre dépolluant large : Certaines plantes cumulent les effets dépolluants et humidifient l'air. Notamment le spathiphyllum, le schefflera, la fougère de boston (Nephrolepis exaltata) et l'Areca dypsis lutescens

     

    cactusPour lutter contre la pollution émise par les photocopieuses, les imprimantes, les feutres, les marqueurs... placez dans la pièce entre 3 à 5 plantes tel que le dracaena, le philodendron rouge, le Pothos, le rhapis (palmier), le ficus ou le beaucarnéa. De plus, placez un cactus a côté de votre ordinateur, il absorbera les ondes magnétiques.

      

     


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    "Se dépouiller permet de relativiser" : Le pouvoir est insatiable. Il appelle toujours plus de pouvoir.

     Jamais satisfait, celui qui le cherche ressemble à celui qui, accumulant des richesses, se laisse ensevelir par elles.

    Toujours plus d'argent pour pallier la pauvreté  intérieure, plus de pouvoir pour cacher ses faiblesses, plus d'aventures amoureuses pour cacher le désamour de soi.

    Puits sans fond incapable de retenir l'eau et que toutes les richesses de la terre n'arriveraient pas à remplir.

    Alors, pour nous soigner, oublions ce plein illusoire. Acceptons le vide.

     

      Jean Dominique Larmet

     


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    "D'aussi loin que je me souvienne, je vois les chiffres en formes et en couleurs. Ils ont toujours été mon refuge, comme les mots, d'ailleurs. Un univers très doux, où je peux me promener en sécurité. Je pouvais passer des heures à chercher les nombres premiers, par exemple. »

     

    Né en 1979 à Londres, Daniel Tammet est un phénomène. Qualifié d’autiste savant, il est un des rares êtres atteints par cette maladie à pouvoir poser des mots sur ces talents mais aussi ses difficulté s de vie quotidiennes.

    Connu pour avoir en 2004 pu énumérer de mémoire les 22.514 premières décimales du nombre pi (3,1415), Daniel Tammet est doté de capacités absolument déconcertantes en termes de calcul. Dans son dernier ouvrage, Embrasser le ciel immense, il nous fait rentrer dans son monde.

    Après une première autobiographie traduite en dix-neuf langues, Je suis né un jour bleu (2007), Daniel Tammet se propose cette fois de vulgariser ses méthodes très particulières d’acquisition. Parlant douze langues, il vit dans un monde où les chiffres s’associent librement aux couleurs comme aux paysages.

    Souffrant depuis son plus jeune âge de la solitude et de problèmes de sociabilisation, il vit à présent à Avignon et travaille à mieux faire comprendre ce qui se passe dans sa tête et dans celles de beaucoup d’autistes.

     

     


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